Je ne suis absolument pas boulanger de formation. Je suis devenu chauffeur Uber pour être plus indépendant, et j’ai fini par être l’égérie de la marque à Paris. Avec le temps, j’ai eu envie de manier des choses concrètes, avec mes mains, et j’ai voulu donner une valeur positive à mon travail.
Comme une évidence, je me suis tourné vers la boulangerie, et j’ai financé ma formation à l’école de Thierry Marx. La P’tite Boulangerie a fait le pari fou de m’engager alors que je n’avais que 6 semaines de stage comme seule expérience professionnelle. Rien que pour ça, je voulais les choisir, pour récompenser leur audace. Pour commencer tout seul, il faut déjà avoir plein de cartes en main mais ce qui est bien avec La P’tite Boulangerie, c’est qu’on est accompagné en permanence. J’ai rapidement été nommé à la tête d’une boulangerie, dont j’ai eu la responsabilité au bout de 6 mois seulement. Ça prouve que cette audace a marché ! La démocratisation d’un beau produit, bon, bio, sain et local est une belle mission que nous a confié La P’tite Boulangerie, à moi et à tous les boulangers, pour qu’on retire de la tête des gens l’idée qu’il faut être riche pour manger sainement. Il faut que nous continuions. »
Mon aventure avec La P’tite Boulangerie ? « Écouté », « Accompagné » et « Respecté ».
Mes produits préférés ? Le pain des marins et la tourte de seigle. Ce sont des pains avec du caractère, des identités qui me ressemblent, qui ressemblent à La P’tite Boulangerie. Ils sont périlleux à réaliser, ils nécessitent de l’attention et de la tendresse.
